Bonjour le team des passionnés. Voici ce qui m'amène. En 1987 (heu, ben oui, le siècle dernier) j'ai appris à voler en delta sur un tricycle motorisé. Depuis je n'ai jamais arrêté. Au début, le moteur était un 462 (rotax) puis un 503 (toujours rotax), dernièrement j'ai monté un 1150 BMW à injection et ça a changé ma façon de considérer le vol en pendulaire. En effet d'autres horizons s'ouvrent désormais. Les distances font moins peur, l'aile à été changée par une bien plus performante. Plage de vitesse de 60 à 140 km/h. La triangulation du tricycle a du évoluer pour s'adapter au poids du moteur (centre de gravité). Cependant, il n'y a pas eu de changement fondamental. Si on veut aller sur la neige, on met des skis, si on veut aller sur l'eau, on met des flotteurs et pour rouler y a les roues. Vous me voyez venir, n'est-il pas ? Mais je vais aller plus loin. L'autre jour, je me suis rendu chez un constructeur de chariot qui mettait au point un système pour libérer le pilote de son aile, dés lors qu'il arrive à destination ... pour aller faire le plein, boire un coup ou chercher un hôtel. L'idée, donc, est de déposer l'aile (5 minutes), déposer l'hélice (interdite sur route) et mettre en fonctions deux moteurs électriques (roues arrières) alimentés en énergie par deux autre moteur (identiques) couplés au moteur principal de l'ULM. Ces moteurs sont suffisamment puissant pour atteindre 80 KM/h avec une machine avoisinant les 500 kg. Donc, voici l'idée qui me trotte dans la tête. Garder la partie haute du tricycle, avec l'accroche de l'aile, garder le moteur haut pour avoir une poussée dans l'axe de la traînée et monter un moteur électrique auxiliaire pour alimenter la turbine du coussin d'air. Les contraintes techniques de l'ULM sont : Poids 450 Kg, vitesse au "roulage"de 60 Km/h. Avant d'aller plus loin, je voudrais savoir si je rêve ou si il serait envisageable d'imaginer une telle solution ? Cordialement Roland. |